Candle Lights. [Arès/Circé]

Candle Lights.

  @Arès   & Circé

Enfin ! Un sourire étire les lèvres légèrement maquillées de Circé, alors qu’elle a l’impression que ce jour n’allait jamais arriver. Une éternité et en même temps … La Fae n’arrive pas à croire que cela va faire un siècle. Le temps est passé tellement vite aux côtés d’Arès. Jamais elle n’aurait pensé que le Dieu de la Guerre pourrait prendre autant de place dans son cœur et dans son âme. Et pourtant … Cent années pouvaient maintenant le prouver.
Se redressant, la brune vérifie dans le grand miroir sa tenue. Est-ce qu’elle est assez habillée pour leur soirée ? Doit-elle se changer ? Le doute commence sérieusement à s’installer dans son esprit. Ses doigts touchent nerveusement le tissu de sa robe, alors qu’elle n’est pas certaine de son choix. C’est sûrement l’une des premières fois que Circé se retrouve autant angoissée. Se battre est moins stressant ! Et puis, ce n’est pas comme si Arès ne la connaissait pas. Mais ce qui stresse la brune, c’est certainement l’idée de profiter de cette soirée, alors que la tension dans le Monde est présente. Arès revient très régulièrement sur les nerfs, dès lors qu’il voit sa sœur ou son père. Chose que la Fae peut comprendre, et c’est bien pour cette raison qu’elle fait tout ce qu’elle peut pour l’aider à se calmer. D’où l’idée de cette soirée, pour profiter de l’un et l’autre, juste le temps de quelques heures. « Allez, ça va aller ! » Inspirant doucement, Circé tente de se convaincre mentalement. Hors de question qu’elle change de robe ou qu’elle soit en retard. Lissant une dernière fois ses mèches brunes du plat de sa main, elle attrape son sac qu’elle a laissé sur son lit, avant de sortir rapidement.

Assise sur les marches, Circé attend patiemment que le Dieu de la Guerre arrive. Il a simplement dû avoir un peu de retard. Aussi, se redressant, nullement rancunière de ce petit imprévu, la brune vient à observer les fleurs qui se trouvent aux côtés du bâtiment. Des roses rouges, elles font partie de ses fleurs préférées. Même si les glaïeuls rouges auront pour toujours sa préférence. Se penchant pour sentir délicatement le parfum, elle sourit en entendant des bruits de pas derrière elle. Circé n’a pas besoin de voir la silhouette pour connaître l’identité de cette personne. Arès. Un parfum bien plus enivrant que celui des fleurs devant elle.

Faisant volteface, Circé s’approche de lui, avec un sourire sincère aux lèvres. « Bonsoir, toi. » Se glissant sur la pointe des pieds, elle vient tendrement l’embrasser. La Fae est vraiment heureuse de le retrouver, même s’il est légèrement en retard. Caressant sa joue du bout des doigts, elle se recule d’un pas pour pouvoir planter son regard dans le sien. « Tu vas bien ? Tu as l’air fatigué. » Elle sait que ce n’est pas simple pour lui actuellement. Il se retrouve à devoir contrer son père, mais également sa sœur. Elle s’est jurée d’être là pour lui, quoi qu’il arrive. Et même si Circé n’a pas envie d’annuler, elle pense au bien être de celui qu’elle aime avant tout. « On peut reporter notre soirée si tu préfères, pour que tu puisses te reposer. Cela ne me dérange pas. Je te ferais couler un bon bain chaud, pour que tu puisses te détendre. » Est-ce qu’il sait quel jour c’est ? Ils n’ont pas réellement parlé de ce centième anniversaire. Peut-être qu’il n’a pas compté, comme elle a pu le faire pendant des semaines. Si tel est le cas, Circé ne lui en voudra pas. Après tout, il a bien d’autre chose à penser qu’une date comme ça.

BY PHANTASMAGORIA

Candle Lights.

  @Arès   & Circé

C’est le sang de tes ennemis qui coulent sur ta peau lorsque tu quittes enfin la zone de combat. Les affrontements se font de plus en plus souvent et de manière plus violente qu’auparavant en vue du contexte dans lequel vous vivez en ce moment. Ton armée est à bout de souffle mais à ton image, ils ne lâchent rien, prêt à tout pour défendre tes doigts, tes principes et tes valeurs. Tu perds des tiens mais comme toujours, c’est toi qui gagnes à la fin. Parce que tu es invincible. Rien ne peut t’atteindre. Que tu crois.

Tu finis par vite rentrer dans tes locaux. C’est une soirée beaucoup plus douce qui s’annonce pour toi. Dans tes quartiers tu ne perds pas une seconde avant d’aller laver ton corps marqué par la bataille. Malgré ton esprit ravagé par les déboires entre toi et ta sœur ainsi que ton père, tu t’octrois un moment de légèreté auprès de celle que tu aimes. Ce n’est pas vraiment ton genre de faire cela mais tu comptes faire l’effort, pour elle. Sous l’eau, tu respires fort, essayant de retrouver ton calme, de faire éteindre le temps de quelques heures cette colère qui te ronge et te consume. Pas facile de penser à autre chose. C’est grave. Tu dois te battre.

Tu laisses de côté ta tenue de combat pour te vêtir d’un costume qui n’a pas vu le jour depuis bien trop longtemps mais pour l’occasion, tu ne veux pas avoir l’air d’un Dieu qui peu partir dans la seconde tuer d’autres hommes et t’es persuadé que Circé te fera l’honneur de sa beauté mis en valeur. L’heure de votre rendez-vous est déjà passée alors tu te dépêches de la rejoindre. Lorsque tu aperçois sa silhouette au loin, tu sais que tu as bien fait de te faire beau parce qu’elle est sublime. La robe lui va parfaitement, coller à sa peau, mettant en valeur tous les atouts de son corps et de son âme. Son sourire lorsque te voit reflète le tien, réellement heureux de la retrouver et de penser au bonheur que tu possèdes plutôt qu’aux malheurs qui s’enchainent en dehors de ton amour pour elle. « Bonjour ma reine. » Tu réponds lorsque Circé te salue avec enthousiasme. Elle ne perd pas de temps et se niche sur la pointe de ses pieds pour t’embrasser. Tu poses tes deux mains sur ses hanches pour la garder contre toi alors que vos regards se lient entre eux. « Pour mon âge, je trouve que j’ai bonne mine. » Tu réponds à la question de Circé qui ne te trouve pas en forme. C’est vrai que les temps sont compliqués en ce moment et ça se ressent sur ton visage. Il n’y a pas beaucoup de temps de repos surtout. « Toi, tu es rayonnante et cette robe te va à merveille. » Tu réponds en passant ta main dans ses cheveux pour dégager son visage sublime. T’as pas besoin de repos, t’as simplement besoin d’être près d’elle. Tu vois qu’elle veut prendre soin de toi, qu’elle est consciente de ce qui se joue en ce moment et des difficultés que tu traverses. C’est tellement touchant. « Je veux profiter de cette soirée avec toi mais avec grand plaisir pour prendre un bain, seulement si tu es avec moi dedans. » Tu réponds en souriant, te baissant vers elle pour l’embrasser à nouveau, presser ses lèvres contre les siennes avec bonheur.

Quand tu te redresses, tu attrapes sa main pour qu’elle te suivre à l’intérieur du bâtiment. « J’avoue que j’irai bien manger quelque chose si ça te va, les combats m’ont affamés. » Tu lui proposes sans qu’elle ne sache que tu as déjà tout prévu pour votre dîner. Ce n’est pas grand-chose mais tu savais qu’il fallait que tu prépares quelque chose de spécial pour elle. En cent ans de relation, tu n’as pas été le mec le plus romantique et des occasions comme celle-ci doivent se compter sur les doigts d’une main alors cette fois, tu marques le coup. Lorsque vous entrez chez toi, tu te diriges directement vers les jardins, Circé à tes côtés, la laissant découvrir la table dresser sur la terrasse, les fleurs et les bougies qui décorent la scène. Tu te tournes vers elle, posant ta main sur sa joue. « Cent ans avec toi, ça se fête. Joyeux anniversaire ma reine. » Tu murmures en te penchant vers elle pour embrasser encore une fois ses douces lèvres, avec passion et sincérité. « On est bien conservé pour un vieux couple. » Tu dis en riant, te séparant légèrement d’elle pour rejoindre votre table.

BY PHANTASMAGORIA

Candle Lights.

  @Arès   & Circé

Un sourire étire les lèvres de Circé, en entendant les pas derrière elle. Se tournant, elle sent son cœur battre dans sa poitrine en croisant le regard d’Arès. Elle sait parfaitement que c’est loin d’être simple pour lui actuellement. Se battre contre son père et sa sœur ne doit pas être simple, même si le Dieu de la Guerre est loin de montrer ce qu’il ressent. Circé n’a pas besoin qu’il exprime ses sentiments, pour voir que son regard est hanté par tout ce qu’il est en train de vivre. Se glissant sur la pointe des pieds, la Fae vient à l’embrasser tendrement. Un frisson remonte le long de sa colonne vertébrale, alors que les mains d’Arès se posent sur ses hanches. Elle rit doucement. « C’est vrai qu’avec ton grand âge … » Elle le charrie, avant de se reculer d’un pas ou deux. L’observant dans sa tenue, Circé est touchée qu’il ait fait l’effort de mettre un costume pour elle. Rougissant doucement, elle vient caresser de sa main la chemise sur son torse. « Il fallait bien que ma robe soit à la hauteur de ce magnifique costume. J’ignorai que tu l’avais encore. » Circé l’a rarement vu avec. Il est bien plus souvent vêtu de son armure de guerre. Mais ce n’est pas pour lui déplaire, alors que cette dernière est moulée à la perfection sur lui. Reprenant la parole, la Fae veut qu’il passe un bon moment, même s’ils ne profitent pas de la soirée comme elle le pensait. L’essentiel est qu’Arès puisse se détendre. Un air malicieux s’affiche sur ses lèvres, alors qu’elle se penche vers lui pour murmurer à son oreille. « C’est un programme qui me plaît bien. »

Glissant ses doigts contre ceux d’Arès, Circé le suit jusqu’à l’intérieur du bâtiment. Elle ne pensait pas qu’ils allaient passer la soirée ici, s’étant imaginé qu’ils pourraient trouver une table dans un restaurant. Un air soucieux vient barrer son front, alors que la brune tourne la tête vers lui. « C’est si … terrible ? » Pour l’instant, Circé a été épargnée. Mais cela la tue de rester en retrait. Elle sait parfaitement que le Dieu est capable de se battre seul, pour l’avoir déjà affronté. Sauf qu’elle craint toujours le pire. Et si un jour, il ne lui revenait pas ? Elle en mourrait. C’est une certitude.
En arrivant, Circé s’arrête et se fige, surprise du décor qui s’offre à son regard. La Fae ne pensait pas qu’il aurait prévu quelque chose. Se mordant les lèvres, l’émotion enserrant son cœur, elle vient à tendre les doigts pour caresser les fleurs dressées pour l’occasion. Il a même pensé à ce détail, alors qu’Arès sait ô combien la nature est importante pour elle. Se tournant vers lui, Circé vient à l’embrasser une nouvelle fois, ses mains se glissant tendrement dans sa nuque. « Tu es la meilleure chose qui me soit arrivée. C’est si parfait, merci. Joyeux anniversaire mon Roi. » Riant avec lui, Circé vient à prendre place à la table, glissant la lanière de son sac sur le dossier de la chaise. C’est vraiment si parfait ! Et c’est sûrement le moment de lui offrir le présent qu’elle lui a acheté pour l’occasion. Fouillant dans son sac, elle en sort une petite boite noire, emballée dans un papier transparent. Un nœud rouge le maintien en place. Délicatement, la brune fait glisser son présent devant Arès, un sourire timide mais heureux aux lèvres. Faisant attention à la moindre de ses réactions, jouant nerveusement avec ses doigts, Circé vient à retenir sa respiration en le voyant ouvrir l’écrin sombre. Et elle se doit de lui fournir une explication, en espérant que ça ne soit pas de trop. « C’est deux anneaux en platine. Je ne sais pas si tu le connais mais … les légendes racontent que c’est symbole d’un amour pur et durable pour l’éternité. Et je … Je voulais simplement te prouver que je serais pour toujours à tes côtés. Quoi qu’il arrive. »

BY PHANTASMAGORIA

Candle Lights.

  @Arès   & Circé

L’idée d’une soirée délicieuse qui ne mêle ni pouvoir, ni haine, ni combat te paraît excellente. Toi qui aimes tant te battre, pour une fois, tu préfères encore la douceur de la compagnie de Circé que les effluves de sang des combattant qui n’ont aucune chance contre toi. Il est rare que vous vous retrouviez dans ce genre de situation mais là, ça tombe parfaitement au bon moment. La retrouver réchauffe ton coeur, c’est pour cela que tu ne perds pas une minute.

Sa présence te rassure et tu ne veux pas partager ta fiancée avec d’autres personnes, c’est pour cela que tu décides de rester ici cette nuit, ayant préparer de quoi vous faire passer une bonne soirée. Ses doigts glissent dans les tiens alors que vous passez les portes du bâtiments. Tu entraînes la belle Fae à tes côtés. Sa question ne te perturbe pas mais tu sais qu’elle a besoin de réponse elle aussi. Elle est témoin des tracas de procurent la situation familiale alors tu dois la rassurer. « Ça s’annonce mal. » Tu réponds simplement. « Mais je ne suis le Dieu de la Guerre, je ne peux pas perdre, tu le sais. » Tu ajoutes sans donner plus de détail et sur un ton ferme. Finalement vous arrivez là ou tu le souhaitais et montres à Circé tout l’amour que tu lui portes avec cette belle surprise.

Le bonheur se lit sur son visage et il est là ton cadeau : la rendre heureuse. Tu ne bouges pas alors qu’elle observes les détails que tu as mis pour attendrir son coeur amoureux. Elle revient alors vers toi et saute dans tes bras en t’embrassant pour te remercier. Tu ris contre ses lèvres, amusé pour sa réaction et par la tendresse de ses remerciements. Ses mots te touchent évidemment alors tu te penches une nouvelle fois pour l’embrasser, répondant avec amour pour fêter pour anniversaire. Vous vous séparez pour aller vous installer sur la table décorée. « Champagne. » Tu dis simplement en faisant sonner ton verre entre tes doigts. Quand tu reposes les yeux sur la table, un écrin noir se trouve devant toi, cadeau de ta bien-aimé. « Tu me demandes en mariage ? » Tu dis en riant, prenant la boite entre tes doigts pour l’ouvrir. Tu ouvres grands les yeux quand tu aperçois les deux anneaux qui s’y trouve. Ils sont fabuleux et… à votre image. C’est comme s’ils étaient fait pour vous deux. Tu ne trouves pas tes mots pendant quelques secondes et écoute Circé t’expliquer la signification des bagues. Tu souris alors, sincèrement touché par son geste et pour la déclaration qui va avec. C’est ton souhait. Que votre amour soit éternel et votre bonheur perpétuel. Et c’est tout ce qu’il te fallait pour emballer ton coeur dans une période ou tu as l’impression que tout pourrait être ruiner à chaque instant.

Tu sors alors l’anneau destinée à la belle Fae. De ton autre main, tu attrapes la sienne et tu viens glisser l’anneau sur son doigts, délicatement, prenant ton temps, appréciant chaque seconde de ce moment si spécial. « C’est un cadeau incroyable. » Tu murmures en plongeant ton regard amoureux dans le sien. « Je suis tellement chanceux de t’avoir à mes côtés. » Tu dis avec sincérité, réellement heureux de la connaître de l’aimer et qu’elle t’aime en retour. Depuis que votre amour est clair, tu te sens plus fort, plus combatif, encore plus insubmersible qu’avant. Mais tu n’oublies pas aussi que depuis que tu as donné ton coeur à Circé, c’est une faiblesse connue de tous. Tu lui tends alors l’écrin pour qu’elle fasse de même avec ton anneau puis le champagne arrive enfin. Tu lèves ta coupe vers la belle Circé pour trinquer avec elle. « A nos 100 ans ensemble et pour les cent prochaines années ! » Tu cris presque dans le jardin, exprimant ton bonheur. « Si les humains entendaient ça… » Tu ajoutes en riant avant de venir gouter à l’élixir alcoolisé. « Quels sont tes prochains projets ? » Tu demandes à ta belle pour lancer la conversation. « Hormis notre bain après ce repas.. » Tu ajoutes, un clin d’oeil en supplément alors que tu prends une nouvelle gorgée de champagne.

BY PHANTASMAGORIA

Candle Lights.

  @Arès   & Circé

Elle a besoin de savoir ce que leur avenir leur réserve. Et ça, Arès peut le savoir en étant sur le champ de bataille. Mais surtout, Circé veut savoir comment il se sent vis-à-vis de tout ça. Elle a beau savoir que c’est un excellent combattant, il n’en reste pas moins d’un Dieu avec des sentiments. Même si beaucoup ne voient pas cette facette de lui. « Je sais. » Elle est au courant qu’il ne peut pas perdre. Mais cela ne l’empêche pas de s’inquiéter, alors qu’il ne se bat pas contre des humains lambda. Mais contre des Dieux, sa propre famille, et cela n’est pas forcément le plus avantageux. Ses sœurs et frères, son père, tous sont de redoutables guerriers. Ils pourraient tous le mettre en danger. Mais ce n’est pas le moment pour la Fae de penser à tout ça.

Voyant tout ce qu’il a préparé pour cette soirée, Circé sent son cœur qui bat bien plus vite. Qu’est-ce qu’elle l’aime ! La brune a connaissance de sa façon d’être et Arès n’est certainement pas l’homme le plus romantique. Et pourtant quand on voit cette installation parfaite … Circé se tourne vers lui pour venir l’embrasser, sincèrement touchée par cette délicate intention. Sourire aux lèvres, la Fae vient à s’asseoir à la table magnifiquement dressée. Sortant de son sac le cadeau qu’elle lui a prévu, Circé ne peut s’empêcher de rire et de secouer négativement la tête, faisant voler quelques mèches par la même occasion. « Non. Si je te demandais en mariage, crois-moi, ça ne serait pas de cette manière. Ça serait mémorable. Qui sait, peut-être pour nos deux cent ans ensemble. » Circé lui lance un clin d’œil complice. En réalité, elle n’a jamais pensé à le demander en mariage. Quelque peu mal à l’aise, la Fae vient à lui expliquer la signification de ses deux anneaux. Elle est un peu gênée de tout ça, espérant que cela lui fera plaisir. Mais c’est à ses yeux, signe de l’amour qu’elle lui porte.

Arès sort l’anneau destiné à la Fae, et le glisse tendrement à son doigt. Elle est touchée par ce geste, alors qu’il aurait simplement pu mettre le sien en premier. Un petit sourire étire les lèvres de la brune alors qu’elle embrasse délicatement les phalanges du Dieu de la Guerre. « C’est moi qui suis chanceuse de t’avoir à mes côtés. » Attrapant l’écrin noir, Circé prend l’anneau en platine avant de le glisser au doigt de l’homme qu’elle aime de tout son être. Il lui va bien. Parfait ! Elle referme la boîte et la remet dans son sac, alors que le Champagne arrive. La brune rit de le voir si heureux, alors que son cœur est comblé de bonheur. Elle veut vivre à ses côtés pour toujours. Faisant mine de réfléchir, un sourire mutin aux lèvres, la brune prend une gorgée de la boisson alcoolisée avant de répondre. « Je compte te voir nu, dans le lit … Je compte t’entendre hurler, mais cette fois-ci, ça ne sera pas pour te battre. Quoi que … Je peux être une redoutable adversaire. Et t'avoir tout contre moi dans chaque pièce de cet endroit qui t'appartient. » Elle ricane, mais il le sait. C’est comme ça qu’ils se sont rencontrés. Reprenant une gorgée de Champagne, elle le fixe d’un regard amoureux. « Et toi alors, quels sont tes projets ? » Mais elle a une chose à lui dire. Attrapant sa main, Circé le regarde avec sérieux. Elle ne veut pas gâcher le moment, mais elle veut qu’il le sache. « Arès … Mon amour, mon Roi. Si … Enfin peu importe ce que l’avenir nous réserve je veux que tu saches que je serais à tes côtés. Quoi qu’il arrive. »

BY PHANTASMAGORIA

Candle Lights.

  @Arès   & Circé

Ce n’est vraiment pas dans tes habitudes de préparer un tel évènement, même pour la femme que tu aimes mais pourtant, cette fois, tu apprécies d’avoir prit cette initiative. Parce que voir le sourire heureux sur le visage de Circé te prouve l’importance de chacun de tes actes envers elle. Et ton sourire répond au sien avec la même intensité de bonheur. Le baiser échangé après ne fait que confirmer que l’idée de ce soir était la bonne et annonce une belle soirée, emplie d’amour et de réconfort.

Vous vous installez à table, l’un en face de l’autre, près à profiter de ce petit moment en amoureux. Tu demandes à quelqu’un de vous apportez du champagne pour marquer l’évènement. C’est alors que ta promise sort une petite boite de son sac qu’elle te tend sur la table. Tu blagues sur la mariage, sachant que ce n’est pas ça, Circé sait que ce n’est pas dans tes projets mais tu fais tout de même la blague. Sa réponse te fait rire, évoquant même vos deux cent ans de relation, attendrissant évidemment ton coeur amoureux. Peut-être que oui, à ce moment là, tu te sentiras près. Quand les membres de ta famille ne tenteront pas de te tuer. Tu sors finalement l’anneau de l’écrin pour le passer sur le doigt de Circé dans un moment délicat, empli de votre amour. Tu es tellement chanceux de l’avoir trouvé, d’avoir à tes côtés une femme si forte, indépendante, compréhensive et compatissante. Tu n’as jamais vraiment voulu vivre une relation longue durée mais à ses côtés, ça été une évidence. Et tu ne t’es pas trompé, la preuve ce soir.

Le champagne arrive alors vous portez un toast avant de trinquer à votre belle relation. Puis tu demandes à Circé ses projets pour la suite. Sa réponse te fait sourire, réchauffe ton coeur et fait naitre un désir que tu connais tant pour elle. Il est éternel. Tu souris en prenant une nouvelle gorgée de champagne, levant un sourcil, interloqué et amusé. « Je vote pour ton programme. » Tu réponds en souriant, préférant ses projets à ceux qui s’annoncent pour toi dans les jours à venir. Tu pourrais oublier tout contre son corps tous les soucis du moment, retrouver ce bonheur que tu connais à ses côtés, profiter de la tendresse de vos mouvements, du plaisir qu’elle sait te procurer. « Est-ce c’est une invitation à me défier à nouveau ? » Tu demandes en riant. « Je me souviens de notre premier combat, c’était une surprise mais sûrement l’un des plus beaux que j’ai vécu. » Tu prends sa main dans la tienne, serrant tes doigts autour des siens avec que tu plonges ton regard dans le sien.

Elle change finalement de sujet, parlant de nouveau de la situation compliquée dans laquelle tu es. La situation qui concerne tout le monde mais dont la pression ne tombe que sur les épaules des Dieux et Déesses. Elle t’emmène vers un sujet que tu voulais aussi engagé pour d’autres raisons. Tu sais qu’elle sera toujours là pour toi, qu’elle serait capable de combattre avec toi mais tu refuses qu’elle mette en danser sa vie pour un combat qui ne la concerne pas. « Circé. » Tu dis de manière plus sérieuse, gardant ta main dans la sienne mais ne sachant pas comment exprimer ton idée. « Je ne veux pas que tu restes auprès de moi. » tu annonces alors sans donner plus d’explication. Réalisant que tu ne peux pas exiger sans donner des raisons, tu continues. « Je ne suis pas sur de pouvoir te protéger à tout instant et tu ne pourras pas être assez forte face aux divinités. Je ne doute pas de ta force, j’en suis témoin bien souvent mais là, je refuse qu’ils s’en prennent à toi. » Tu déglutis avant de boire encore un peu de champagne. « Personne ne peut me blesser physiquement mais s’ils s’en prenaient à toi, je serai touché, vulnérable. Je ne peux pas prendre ce risque. » Qu’elle parte loin de toi te déchirerait le coeur mais tu serais au moins rassurer de la savoir en sécurité. Et même si tu ne peux pas être avec elle, tu vas devoir supporter la distance, pour elle, pour sa vie. Et pour la tienne.

BY PHANTASMAGORIA

Candle Lights.

  @Arès   & Circé

Circé a déjà une idée bien précise du programme qu’elle désire pour le reste de la soirée. Mais elle fait pourtant mine de réfléchir lorsqu’Arès lui pose la question. Une gorgée de champagne et elle répond enfin. Mais peut-être que lui ne voudra pas la même chose ? Après tout, Arès est peut-être fatigué de ses combats. Même si cela serait étonnant, alors qu’il ne dit jamais non pour du bon temps. Dans tous les cas, la Fae veut simplement qu’il passe une agréable soirée. Un sourire étire pourtant les lèvres de la brune, alors qu’elle se rappelle parfaitement de ce premier combat entre eux. Cela fait pourtant cent ans, mais c’est ancré dans son esprit pour l’éternité. Elle se souvient parfaitement de comment elle a osé le défier. De ce combat qui en a découlé. Et surtout, de cette histoire d’amour pur et sincère qui a pu naître de ce simple défi. « Peut-être … » Circé lui répond d’un ton mystérieux, avec un clin d’œil complice. Elle pourrait le défier à nouveau. Juste pour avoir son corps contre le sien, l’adrénaline pulsant en parfaite harmonie dans leurs veines. « Je m’en souviens aussi. Ton corps contre le mien. La foule qui te galvanisait par sa force. Ton air arrogant que j’aime tant. Oh oui, je me souviens parfaitement de cette rencontre … »

Mais finalement, Circé vient à changer de sujet. Elle veut qu’il sache qu’elle sera toujours à ses côtés. Peu importe ce que l’avenir leur réserve. Peu importe ce qu’Arès devra affronter. Mais celui qu’elle aime reprend la parole, sa main toujours dans la sienne. La suite … Circé ne s’y attendait pas. Elle se fige, alors qu’elle a l’impression que son cœur s’est arrêté. Il ne veut plus qu’elle reste avec lui ? Et il ose lui annoncer ça le soir de leurs cent ans ?! Son souffle s’est bloqué également et peut-être même que ses doigts se sont crispés dans ceux d’Arès. Comme s’il lisait son incompréhension, Arès explique pourquoi il ne la veut pas à ses côtés. La Fae comprend ses peurs. Comprend mieux pourquoi il ne veut pas qu’elle reste. Mais malheureusement, s’il venait à s’éloigner, c’est là qu’elle serait faible. Se levant, elle contourne la table pour venir s’arrêter devant lui. « Je suis touchée et je comprends parfaitement Arès mais … » Relevant délicatement le tissu de sa robe le long de ses cuisses nues, elle vient à enjamber Arès pour pouvoir s’asseoir sur lui, ses jambes de part et d’autre des siennes. Leur proximité la fait frissonner, alors qu’elle tend la main pour caresser délicatement sa joue. « Je sais que je ne suis pas assez forte pour battre un Dieu. Sauf que si l’un d’entre eux, voulait s’en prendre à moi pour t’atteindre … Peu importe où je serais, je serais en danger. Il n’y a qu’à tes côtés que je pourrais être en sécurité, car tu serais là pour me protéger. » Elle se penche légèrement pour venir frôler ses lèvres des siennes. Et dans un murmure, elle souffle d’un ton déterminé. « Sans parler que tu n’as pas voix au chapitre, mon Roi. Je ne t’abandonnerai pas aux portes de la bataille. Jamais. Je te suivrai, peu importe ce que l’avenir nous réserve. Et si tu me repousses, je viendrai quand même. Encore et encore. Je serais pour toujours à tes côtés. » Il sait parfaitement qu’elle est têtue. Les cent dernières années lui ont assez prouvées. Souriant, elle se redresse et attrape le verre d’Arès pour prendre une gorgée, un petit air malicieux aux lèvres et le regard rieur. « Mais peut-être qu’il faut que je te fasse une piqure de rappel pour forcer tes vieux souvenirs à refaire surface et que tu n’oublies pas que je suis une créature sans défense ? »

BY PHANTASMAGORIA

Candle Lights.

  @Arès   & Circé

Tu pensais également à votre première rencontre, à la fois ou elle est venue te défier. Elle t’a surprit ce jour là parce que tu l’as sous-estimée. Pas parce qu’elle est une femme mais parce que tu ne la voyais pas comme une combattante acharnée. T’avais l’impression qu’elle abandonnerai à la moindre difficulté mais ce n’est pas ce qu’elle a fait, elle s’est battue jusqu’au bout, jusqu’à ce que tu gagnes, jusqu’à ce que ton coeur se brèche pour qu’elle s’y insère avec bonheur. C’était inattendu mais fort et beau. Voilà ton souvenir de ce moment. Le combat est part importante de votre première rencontre mais l’amour qui est né ce jour là est bien impressionnant. Tu as changé ce jour-là, et pour devenir meilleur. Ses mots te font sourire. « Moi ? Arrogant ? J’ai de quoi ! J’ai gagné, non ? » Tu dis en riant avant de passer au sujet plus sérieux que tu attends d’aborder depuis quelques minutes.

C’est une dualité qui t’a toujours habitée. Est-ce que les personnes que tu aimes sont plus en sécurité près de toi ou loin de toi ? Tu n’as jamais pu répondre sincèrement à cette question, tu n’as jamais été dans le cas ou tu perdais quelqu’un qui hante ton coeur. Pourtant, dans la situation qu’est le monde divin aujourd’hui, un doute est venu s’installer concernant ta bien aimée. Un mauvais pressentiments, une sensation qu’une horreur va arriver et c’est pour cela que tu en es venu à l’idée qu’il faudrait qu’elle s’éloigne de toi. Tu ne veux sûrement pas gâcher le moment que vous vivez, tu veux encore moins qu’elle pense que tu veux qu’elle s’éloigne de toi. Au contraire, au fond de toi, tu sais que si c’est toi qui la protège, elle a plus de chance. Mais c’est quelque chose que tu ne peux pas expliquer, au fond de toi, tu te questionnes sur sa sécurité. Quand tu finis de t’expliquer, elle se lève pour venir devant toi. Tu lèves ton regard vers elle, curieux de connaître la nature de ce geste. Ses mains viennent relever le tissu de sa robe, dénudant partiellement ses cuisses, t’offrant une vue à la hauteur de la beauté de ta reine. Tu lèves un sourcil, séduit et amusé par cette vision. Elle vient finalement s’asseoir sur tes cuisses et tu la laisses faire avec grand plaisir, posant tes deux mains dessus, souriant. Le contraste avec votre conversation est amusant. C’est bien le problème, t’as l’impression que pour t’atteindre, tes ennemis pourraient s’en prendre à elle. Tu ne te le pardonnerais jamais. Tu la laisses continuer sachant qu’elle n’en a pas finit avec toi. Tu connais la Fae. Ses mots sont touchants et viennent réchauffer ton coeur sans pour autant calmer tes craintes. Elle sait quoi te dire pour te rassurer et c’est aussi pour ça que tu l’aimes. « Je peux aussi te séquestrer à l’abris des regards pour être sûr que tu n’es pas en danger. » Tu proposes sur le ton de la plaisanterie bien sûr, bien que s’il le fallait, tu en serais peut-être capable… mais tu préfères penser que tu n’auras pas besoin d’en venir à ça. Elle se retourne, attrape ton verre et bois une gorgée. Tu souris en l’observant, admiratif de cette puissance qui t’accueille avec plaisir. Sa proposition te fait rire et tu attrapes ton verre dans ses mains pour venir boire une gorgée toi aussi.

Tu reposes le verre puis tu viens embrasser ta reine pour que vos lèvres au gout de champagne se mélange. Tu lèches sa lèvre avec plaisir, la goutant avec envie. « C’est un nouveau défi que tu me lances ? Dois-je te rappeler l’issu de notre premier combat ? » Tu lui rappelles en souriant, glissant tes mains le long de ses cuisses, jusqu’à l’intérieur, allant jusqu’à sentir la chaleur de qui s’en échappe. Tu viens coller tes lèvres contre son oreille. « Le repas arrive. Prends des forces avant que je ne te montre que ma puissance n’a pas faibli depuis les cent dernières années. » Tu lui dis en retirant tes mains de son corps avant de te reculer, posant ton dos contre le dossier de ta chaise pour lui laisser la place de s’échapper alors qu’un sourire joueur et fier se glisse sur ton visage.

BY PHANTASMAGORIA